À propos du projet

 

• ​​Un "liner" installé au fond du réservoir pour éviter les pertes en eau,

• Un filet anti-évaporation positionné sur le réservoir d’eau,

• 2 tanks de 10.000 litres installés sur leur structure à 5 mètres de hauteur pour assurer le stockage et le traitement de l’eau pompée avant distribution par gravité. Le traitement  dans l’un des tanks permettra d’éliminer les sédiments et autres substances susceptibles d’entrainer des phénomènes de bouchage dans le système de distribution d’eau installée sur la parcelle (1/2 hectare),

• Une commande électrique à distance (100 mètres) pour piloter à distance la distribution d’eau en cours de journée et au fil des jours de culture,

• Un réseau optimisée de micro-irrigation avec distribution d’eau en goutte à goutte

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Par ailleurs, une étude agronomique a d’ores et déjà été lancée avec un partage de la surface  plantée en blocs différenciés pour évaluer l’effet de l’irrigation et l’impact de l’emploi de pesticides sur les performances culturales en quantité et en qualité sur la parcelle d’expérimentation.

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Dans le cadre de cette étude, des analyses de sol seront effectuées aux différentes étapes de cultures pour mesurer l’évolution de la composition de ceux-ci. Il est aussi prévu une analyse de la qualité sanitaire des productions notamment pour le maïs très sensible aux attaques fongiques avec développement de mycotoxines en cas de stress hydrique.

​Un premier retour d’expérimentation sera donné dans un délais de maximum 6 mois aux membres de l’Association des fermiers du Mont Kenya (Association créée suite aux projets SIPIK 1).

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​​​Un événement de plus grand ampleur avec la participation de plus de 100 fermiers intéressés par les résultats des Projets SIPIK 1 et SIPIK 2 est programmé dans un délai de 1 an.​